A 50 ans, les signes de vieillesse se font ressentir et commencent à se voir, que ce soit au niveau du corps ou du visage : relâchement de la peau, perte d’éclat et stockage des graisses dû aux changements hormonaux avec notamment l’apparition de la ménopause.
La femme de 50 ans doit être vigilante à son alimentation et continuer à pratiquer un sport afin de maintenir un poids stable et tonifier ses muscles.
Pourtant les quinquagénaires d’aujourd’hui se sentent plus épanouies que les 25-44 ans. Ainsi, 83% des femmes de 45-60 ans se sentent bien dans leur peau et dans leur vie*. En effet, elles s’acceptent mieux, ont plus d’estime et confiance en elles.
Aussi, à 50 ans, on peut considérer la vie comme un nouveau départ et penser plus à soi : les enfants sont autonomes et indépendants, on est souvent accomplie socialement et professionnellement, les problèmes d’argent ne sont généralement plus d’actualité et on a envie de reséduire sa moitié et de plaire.

Quelle operation 50 ans

Et c’est là où la chirurgie esthétique a un rôle à jouer. Cette dernière peut aider à se sentir mieux dans sa peau et a augmenter cette confiance en soi.
Alors, quelles sont les opérations de chirurgie esthétique les plus pratiquées à 50 ans ?

Un lifting cervico-facial pour gagner 10 ans

Cette chirurgie du visage a pour objectif de rajeunir efficacement l’aspect du visage en permettant une remise en tension du cou, de l’ovale du visage et donc de supprimer les rides et les sillons naso-géniens. Aussi, les muscles sont retendus et l’excédent de peau est retiré pour un résultat naturel.
A cette intervention est souvent associée une blépharoplastie qui permet de corriger les paupières (affaissement et excès de peau) pour retrouver un regard plus jeune.

Autres méthodes pour une remise en tension du visage et une correction de l’aspect de la peau

Certaines femmes préfèrent se tourner vers d’autres options comme les fils tenseurs, les produits de comblement (toxine botulique ou acide hyaluronique), des peelings ou encore les lasers pour corriger la couperose ou les taches de vieillesse.
Toutefois il est important de savoir que ces traitements dit non invasifs ne sont pas définitifs et que plusieurs séances sont souvent nécessaires.

L’abdominoplastie

Nous avons vu que les trentenaires y ont parfois recours après de multiples grossesses. A 50 ans, l’abdominoplastie offre un double avantage : une suppression de la graisse qui s’installe d’autant plus avec la ménopause mais aussi une remise en tension des muscles abdominaux. Objectifs : un ventre retendu et plat, des organes mieux soutenus et une taille amincie.

La chirurgie bariatrique pour lutter contre les problèmes de poids

Sleeve gastrectomie, anneau gastrique, bypass gastrique, switch duodénal, ballon gastrique…plusieurs méthodes existent pour cette chirurgie de l’obésité avec un seul but : perdre du poids de façon saine et durable pour retrouver une santé physique et psychologique. Pour pouvoir y prétendre il faut remplir un certain nombre de critères. C’est votre chirurgien esthétique en Tunisie qui sera en mesure de vous dire quelle méthode vous correspond.

Les liftings pour une remise en tension de la peau

De manière générale, à 50 ans, la peau a tendance à se relâcher. Cet effet est accentué si une grosse perte de poids a eu lieu, comme à la suite d’une chirurgie de l’obésité ou bien à cause de l’effet yoyo. Un lifting consiste à retirer la peau excédentaire afin de redonner une harmonie à la silhouette mais aussi de retrouver une facilité dans les mouvements et activités physiques car la peau en excès peut devenir gênante. Bénéfice esthétique et fonctionnel donc.

Plusieurs possibilités s’offrent à vous : lifting des cuisses, lifting des bras ou encore lifting mammaire.

Bon à savoir : si en plus de la peau distendue, vous avez un surplus de graisse, alors le lifting peut être accompagné d’une liposuccion.

Vous souhaitez en savoir plus ? N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre chirurgien esthétique en Tunisie. Bas du formulaire

*Source IPSOS. Enquête réalisée en 2013, auprès d’un échantillon de 1 150 Françaises âgées de 25 à 70 ans (dont 532 âgées de 45 à 60 ans).